C'est quoi ?

Un blog entre amis pour se rappeler des films, des jeux vidéos ou des musiques dont on a parlé lors du dernier apéro !

Firefly : space cowboy !

dimanche 29 mai 2011

Série américaine produite par Joss Whedon (et non JJ Abrams, j'ai confondu! )
Univers : SF dans l'espace + ambiance western

Suite à l'épuisement des ressources sur Terre, l'humanité colonise un nouveau système solaire. Des dizaines de nouvelles planètes sont rendues vivables par terraformation et se forment l'Alliance. Les planètes les plus éloignées sont contrôlées par les Indépendants qui refusent le joug de l'Alliance.

Une guerre finit par éclater, et suite à la défaite des Indépendants le sergent Malcolm Reynolds, miné par la défaite, décide de vivre en marge de l'Alliance dans une vieille guimbarde volante, un modèle Firefly, baptisé Sérénity.

Il forme petit à petit un groupe de renégats qui vont tenter de survivre en accomplissant des missions de vol, extraction et commerce sur les planètes les plus éloignées de l'Alliance.

Sympathique petite série dont la suite et fin sors au cinéma en film sous le nom de Firefly.
On y retrouve un mélange de SF "à la albator" pour le côté pirate et western car les planètes que visite le Sérénity sont généralement très en retard au point de vue technologie.

Certains épisodes sont d'assez pauvre qualité, mais l'ensemble est très original et au final série+film forment une aventure de très bonne facture.
Moi des petites séries de cet acabit, j'en redemande ! :o)


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Mongrels

jeudi 26 mai 2011

Comme je fais régulièrement des crises de manque de Télépoils, je me suis mis en quête de vous trouver une nouvelle série avec des Muppets. Et là, je suis tombé sur... Mongrels, série d'outre-Manche composée d'une saison de 8 épisodes.
J'ai déjà avalé la moitié de la saison et vous donne d'ores et déjà mon sentiment : c'est du tout bon !
Comme dans toute série de Muppets qui se respecte, les personnages de Mongrels sont des animaux en peluche (chiens, chats de gouttière, renards, pigeons...) parmant un langage commun, non intelligible des hommes qui viennent faire un peu de figuration de temps à autre. Chacun a sa propre personnalité, et c'est ce qui va faire la trame de la série : la chienne apprêtée cherche toujours son prince charmant, le renard "trop bon trop con" se fait entourlouper, la pigeonne cherche à faire du fric par tous les moyens, etc... Le ton est trash, bien entendu, et vous ne manquerez de rien : violence, sexe débridé, drogue, chantage, vomi ou caca, arnaques, pédophilie, etc... il y en a pour tous les goûts. Quelques références sympathiques (je viens de me passer le S01E04 où le renard se trémousse en Freddy Mercury sur "I want to break free", avec son aspirateur), et le mélange permanent qui s'installe entre leur condition animale et leur nature humaine (ils peuvent discuter chiffon puis se renifler le derrrière d'une seconde à l'autre) font de l'ensemble une très chouette série, bien rafraîchissante comme on les aime.
Alors j'entends d'ici la question fatidique : ouais, mais est-ce que c'est encore mieux que Télépoils, d'abord ? Et bien malheureusement, ma réponse est non, toujours pas, et je vais donc devoir reprendre mon bâton de pélerin pour trouver le Muppet Graal...
Samary.
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2 saisons, 25 épisodes.
Adaptation d'un comics.

Série arrêtée en 2011. Ce qui a attiré ma curiosité, car ce ne serait pas la première série un peu hors norme qui ne trouverai pas son public.

Et bingo ! bonne pioche.

Un trio improbable : un ancien assassin, un ancien flic et un ancien "homme de l'ombre" font équipe pour protéger de futures victimes.

Human Target est un "subtil" mélange entre Magnum, James Bond et l'Agence tout risque.
Rien que ça !

La série alterne moments légers, action et humour avec des répliques du genre "il n'y a qu'une cinquantaine d'hommes armés de fusil d'assaut qui convergent vers nous, le plus dur, ce sera d'aller dans le bureau de votre ancien patron et de trouver pourquoi il souhaité votre mort".

Et ça tient la route, la série n'a pas à pâlir face à ses prédécesseurs archi culte.

Les acteurs sont bons. Les personnages accrochant et plein "d'aspérités" et de petites subtilités.

La série "popcorn" idéale pour passer un bon moment, le cerveau sur "off" avec un bol de cahuètes et une bière à portée de main.





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Je répare un oubli impardonnable en présentant la série The Wire (Sur écoute).
5 saisons.
Environ 60 épisodes.
Dispo en VF et en VO.

La série a pour sujet la criminalité dans la ville de Baltimore, à travers la vision de ses habitants : flics, trafiquants de drogue et d'armes, politiques, journalistes, enseignants et simples résidents.

Une des meilleures série que j'ai pu suivre.
La série est d'une intelligence rare, un mélange très subtile de réalisme et de tragédie avec une très large galerie de personnages marquants.
Les acteurs sont très bons, les personnages très bien travaillés.
Certains personnages marquent pour toujours : « Stringer » Bell, McNulty, Barksdale, Proposition Jo, Marlo, Bubbles, le lieutenant Daniels, etc ..

La véritable vedette est la ville de Baltimore.
Les scénarios sont complexes et sont construits progressivement.

Le résultat : un univers cohérent, réaliste et passionnant.

Un vrai coup de coeur, qui marque pour de bon.

Si vous deviez ne découvrir qu'une série cette année pour sortir de votre torpeur ou votre manque de "série addict", se serait celle-ci.
Mea maxima culpa : j'aurai dû en parler bien avant ! :)

Erreur réparée.
Sachez que The Wire est une drogue dure : la première vision donne inévitablement envie de reprendre à 0 toute l'histoire le plus vite possible !








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Attention, c'est du lourd !

Vous avez l'habitude de me voir jouer à des jeux "Oldies" tout pixélisé tout "pas beau" comme disent les mauvaises langues.
Mais là, il s'agit de tout autre chose ! L'oeuvre ultime de passionnés du Beathem'All qui ont repris le meilleur de la saga Megadrive "Street of Rage" 1&2&3 pour l'étendre, le remettre graphiquement au goût du jour et créer un jeu vidéo totalement fun.

Je ne vais pas m'étendre plus car il existe un excellent test très complet et il me faudrait des heures pour parvenir à vous décrire l'ensemble des bases, options et idées qui font de Street of Rage Remake un jeu indispensable si vous avez aimé les originaux, Double Dragon ou Final Fight.



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Allez, je me lance : le premier bouquin présenté sur Picon Bières ! autant dire que pour l'occasion je ne choisis pas le premier torchon venu. Cet ouvrage est juste LE livre que je conseil à tous de lire au moins une fois. Au moins certains chapitres qui sont des leçons d'éveil que tout bon citoyen devrait avoir entendu ou lu une fois dans sa vie pour s'estimer apte à avoir un jugement critique.




Si vous ne deviez lire qu'un livre cet année, ce serait celui-ci ! Pourquoi ?
  • il traite d'un sujet qui touche tout le monde : pourquoi avoir un esprit critique et comment le réveiller ?
  • il excite la curiosité
  • il rend moins con 
  • il est écrit dans une langue claire, accessible et ne demande aucune préparation ni connaissance particulière
Mais qu'est-ce qu'il y a dedans ? En fait rien de nouveau, aucune "découverte" sensationnelle. C'est le résultat d'un travail de titan dans lequel l'auteur répertorie, classe et explique les procédés, les techniques ou les processus (volontaires ou pas) qui peuvent entraîner une confusion mentale, une manipulation.

Voilà son contenu, chapitre par chapitre :
  1. les jeux du langages : ou comment sont créés les "mauvais raisonnement", "écran de fumée", paralogisme (raisonnement faux qui apparaît comme rigoureux, mais dont la personne est de bonne foi) et sophisme (idem, mais là la personne cherche à vous tromper)
  2. les mathématiques : comment les grands nombres nous trompent, comment les statistiques et les schémas comparatif peuvent être facilement falsifié si on n'y regarde pas de plus près (si vous n'êtes pas maths, ce chapitre peut être sauté)
  3. l'expérience personnelle : comment notre cerveau perçoit, se souvient et juge
  4. comment la science procède pour contourner ou contrôler ces aspects : premières pistes pour expliquer une démarche scientifique
  5. les médias : que signifie la démocratie, comment fontionnent nos médias, les modèles de propagande
ça n'est pas un livre sur des conspirations obscures, ni un livre de "développement personnel". Non c'est plutôt un cours d'excitation de la curiosité aux choses de la société et du monde d'aujourd'hui. Le genre de petit cours qui mériterait sa place dans les programmes officiels !

Pour découvrir de quoi il retourne, Normand Baillargeon (l'auteur) a laissé en ligne les premiers textes qui furent la génèse du livre.
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C'est quand que ça reprend Dexter ? C'est quoi la date de la nouvelle saison de True Blood ?

Mais j'en sais rien moi ! :o)

Regardes plutôt ce calendrier super bien fichu, tu y trouveras toutes les infos que tu cherches : http://www.pogdesign.co.uk/cat


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Vous aimez la musique, plus particulièrement "l'électro" et vous aimeriez en savoir plus sur son histoire, ces genres, sous genre et grandes tendances depuis les années 70 ?
Alors cet outil en ligne est ce qu'il vous faut. Très complet, chaque style est accompagné d'un texte et de 3 à 5 morceaux parmi les plus représentatifs.

Et si vous n'êtes pas un électro fan, allez y jeter un oeil pour le plaisir des oreilles et de la découverte !

Merci Dr Samary pour cette petite perle !



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Je n'aime pas Scream. Je n'ai jamais aimé le premier (pas dans la culture film d'horreur à l'époque), je n'ai pas aimé ses suites.
Mais voilà, armé d'un solide seau de popcorn, nous sommes allé voir ce quatrième opus sur un coup de tête.

Et j'ai vraiment bien aimé !

Il faut dire que Scream 4 a une chose rare pour lui : les meilleures 10 premières minutes que j'ai vu au cinéma depuis très longtemps !
C'est simple : j'étais mort de rire ! la salle également !

Alors voilà, en très mauvaise qualité (je n'ai pas trouvé mieux pour l'instant), les fameuses premières minutes montées en poupées russes sur le thème de "Oh non, pas encore un film crétin avec un tueur masqué qui cours après de pauvres bimbos blasées !".

Enjoy.



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Honnête film de super héros qui se paie de luxe de durer 2h50, ce qui lui donne un avantage énorme : le temps de planter le décor et faire monter la mayonnaise tout en suivant le héros, sorte de mélange entre un Peter Parker (sans le côté scientifique) et un Bruce Wayne.

C'est carré, l'univers est très fouillé, cohérent et reprend l'histoire du super héros au costume le plus ringard jamais créé (heureusement le jeune héros aura le droit à une jolie armure personnelle du type de Batman Begin au lieu du traditionnel pyjama violet).

Attention : ne vous attendez pas à de l'action à couper le souffle ou à un scénario génial de créativité. Non, on est plutôt dans le schéma de la série TV. Mais l'image est loin d'être honteuse et moi j'ai vraiment bien aimé.

Largement de quoi me faire patienter en attendant Superman et le prochain Batman.


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Un film conseillé par mister Jérem !
Et la bande annonce est musclée, le traitement de l'image donne envie et le héros donne clairement dans le fun.
A voir.

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Source Code raconte l'histoire d'une expérience scientifique créée dans le but de produire une arme ultime contre le terrorisme.
En recueillant des données suites à une attaque terroriste, la science créée une modélisation d'un évènement et réussit à injecter dans ce monde virtuel un agent capable de mener une enquête dans ce passé reconstitué.

Excellente idée, un mix de l'excellent Passé Virtuél (13th floor) et d'un concept dark SF (l'agent est ici un légume laissé pour mort sur un champ de bataille). D'ailleurs les 30 premières minutes sont juste géniales.

Le problème c'est l'effet couille molle du réalisateur (trop de pression de la part des financiers ou manque d'idée?). Car au bout d'un moment le film va vite tourner à vide faute de nouvelle idée. Comment faire pour remplir ? Ajoutons-y une histoire d'amour inutile ! comment meubler et tirer vers le grand public ? ajoutons une louche de scènes larmoyantes qui ne font rien avancer et balançons donc de la musique "Epique Romantique", c'est à dire un gros thème musical fort mais remplit de violons et de trémollos niais.

Voilà, je suis sorti de la projection avec comme un grand vide à la place de l'excitation du début qui me prenait aux tripes.
L'avantage c'est qu'au final c'est de la SF grand public qui finit bien (je ne spoilerai pas la fin totalement invraissemblable pour ceux qui voudrait le voir).

Restent dans ma mémoire de belles images du début et la relation entre l'agent et la superviseur. De très bons points de départ qui n'ont pas su se renouveler par la suite.

Même effet de "tout ça pour ça?" après Moon. Serais-je hermétique au style de Duncan Jone? probable.
Si vous n'avez pas vu Passé Virtuel, trouvez une copie, vous aurez un vrai bon film sur les univers virtuels de l'époque pré Matrix.


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