C'est quoi ?

Un blog entre amis pour se rappeler des films, des jeux vidéos ou des musiques dont on a parlé lors du dernier apéro !


Au commencement fut le singe, puis l'homme quelques années plus tard. Puis l'humour longtemps après. Plus précisément en 1968 avec l'arrivée du premier film de Mel Brooks, un réalisateur génialement siphonné du bulbe.

A la même époque en Angleterre les Monty Python commençaient à sévir sur les ondes de la BBC avec leur Flying Circus. Comme quoi on s'emmerdait pas dans les années soixante entre 2 guerres.

Revenons en à nos morpions avec Mel Brooks.
Je me suis refais l'année dernière quelques joyaux de sa filmographie car j'étais jusqu'alors un peu passé à côté. En dehors bien entendu du cultissime Spaceballs, film vu et revu 100 fois et qui a bercé mon enfance (j'étais alors capable de jouer et bruiter les 15 premières minutes à la bouche !)

Je ne peux que vous recommander de voir ces plus grands films qui n'ont pas pris une ride au niveau de l'humour et de la blague potache malgré les années et les traductions françaises plus ou moins heureuses.






























Je vous recommande Blazing Saddles (Le shérif est en prison en VF), parodie de western où un village condamné par un riche entrepreneur du rail va devoir compter sur le shérif noir pour s'en sortir. Parodie des grands classiques du Western et au passage une dénonciation du racisme américain. Certains personnages sont mémorables et la fin qui part en vrille vaut vraiment son pesant de cacahuète !
































Je vous recommande Young Frankenstein (Frankenstein Junior en VF) qui parodie le premier Frankenstein du cinéma avec un second rôle de Igor totalement azimuté !










































Et bien entendu mon film culte parmi mes films les plus cultes : SpaceBall (La folle histoire de l'espace en VF) parodie sous LSD d'Alien/Star trek/Star Wars et de la sf exploitation des années 70-80 dans ce qu'elle a fait de meilleur comme de pire. Attention, film culte ne veut pas dire qu'il a forcément bien vieilli ni que l'humour est "tout publique". Mais j'assume car c'est pour moi sans doute le film qui a le plus marqué en tant que spectateur.

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