Picon bières

Série US en 3 saisons et 43 épisodes au format 22 minutes.
Style comédie, geek et friends like.



La belle et les geeks

Big Band Theory est une série où une bande de geeks scientifiques se retrouve confrontés dans leur quotidien à une blonde sexy bien ... blonde.
C'est un peu court résumé ainsi, mais ça m'évite de faire des jeux de mots à deux balles sur les geeks et les blondes.

Bref, les geeks sont 4 :



- Sheldon le plus barré de tous, asociale maladif bourré de tocs et perfectionniste au possible. Il est également totalement bouffi d'orgueil. Il est imbu de lui même et son égoïsme n'a d'égale que son QI surelevé. Une sorte de Gregory House no-life scientifique.
- Léonard est le geek qui essaye de s'en sortir. Tout aussi décalé de la réalité que les autres, il essaie pourtant de se soigner et tente de comprendre le monde qui l'entoure. Avec beaucoup de difficultés. Faire valoir de Sheldon : celui-ci ne manque jamais une occasion de lui rappeler à quel point Léonard est inférieurement intelligent et combien ses recherches sont moins pertinentes et abouties.
- Wolowitz est le geek qui se croît tombeur. Ingénieur spécialisé dans l'espace, il est persuadé d'avoir un sex appeal débordant. Il est le ringard de la bande, mais un ringard "à la Austin Power" niveau look. Un Austin Power ingénieur qui vit encore chez sa mère, en quelque sorte.
- Rajesh est le geek sympa de la bande qui a toutefois un énorme problème : il ne peut jamais sortir un mot en présence d'une fille.



La blonde, c'est Penny, la nouvelle voisine.
Elle est serveuse, a des histoires de coeurs et de cul, est pleine d'entrain et adore ses nouveaux voisins.
Elle est "l'élément venu du monde réel" qui vient perturber les no-life, qui eux sont naturellement tombés plus ou moins amoureux.



Après une dizaine d'épisodes, je dirai que ça se laisse regarder. Mieux, ça se revoit avec plaisir => on a relancé les premiers épisodes que Céline n'avait pas vu et je me suis bien plus bidonné la seconde fois.

A découvrir, ne serait-ce pour répondre à la question que Léonard se pose depuis le début : vais-je pouvoir un jour me taper Penny ?